Categorie : Vente

(Français) Augmentez vos ventes grâce à une commercialisation efficace !

Altitude offre une conférence mercredi le 3 février pour STIQ (Sous-Traitance Industrielle Québec) :

La première partie porte sur les outils de marketing Web (Web 2.0, site Web, infolettres, publicité sur le Web, positionnement dans les moteurs de recherche, etc.).

La deuxième partie porte sur l’innovation en entreprise et sur comment ajouter de la valeur à votre offre.

Voici le détail des présentations :

Pour rejoindre votre clientèle, choisir les bons outils de promotion et de communication 
 
Cette présentation attire l’attention sur les outils technologiques de marketing qui sont moins chers que les outils traditionnels et bien souvent plus efficaces.

1. Comment se positionnent les outils de   communication dans la stratégie de développement de marché des entreprises ?
2. Outils de communication de masse et outils plus ciblés, selon les clientèles visées ;
3. Le site web, outil de base ;
4. D’autres outils technologiques de marketing :
5. Comparaison entre outils traditionnels et technologiques pour un même budget.

Pour atteindre, voire dépasser ses objectifs de vente, il faut innover !

« Les entreprises qui réussissent le mieux sont celles qui innovent ». Le principe paraît intéressant, mais comment s’y prendre pour innover ?

Cette présentation insiste sur le fait qu’il faut ajouter de la valeur à votre offre et que cette approche peut être une façon économique d’innover, parce qu’il n’est pas toujours nécessaire d’offrir un produit entièrement nouveau pour ajouter de la valeur !
 
* Ces formations sont admissibles à la Loi du 1 %
 Un petit-déjeuner et un dîner sont offerts gracieusement aux participants lors des deux formations.

Pour plus d’informations, contactez Mme Geneviève Demers au 514 875-8789 ou gdemers@stiq.com.

(Français) Dossier Internet : Mon entreprise est en avance ou en retard ?

Vous savez que le Web est important aujourd’hui en 2009. Mais c’est important comment ? Est-ce que mon entreprise est en avance ou en retard ?

Voici quelques statistiques importantes qui vous permettent de savoir si vous êtes en avance ou en retard sur les PME québécoises. Les statistiques proviennent de www.cefrio.qc.ca et sont en 2009.

Avez-vous un site Web ?
64.8% des PME ont un site Web. Si vous n’en avez pas, vous commencez à être en retard.

Est-ce que vous achetez en ligne ?
52,1% des PME font des achats en ligne. Que ce soit des matières premières, des fournitures de bureau, des placements d’offres d’emplois ou autres. À l’inverse, est-ce que vendez en ligne ?

Est-ce que vous recherchez sur votre secteur d’activité ? Des fournisseurs potentiels par exemple ?
69.7% des PME font des recherchent sur leur secteur d’activité. Ainsi, s’ils recherchent un fournisseur potentiel et que vous n’êtes pas sur le Web, vous ne serez certainement pas choisi. Pensez-y!

Est-ce que vous faites de la publicité en ligne ?
30,6% des PME font de la publicité en ligne. Ils s’assurent donc que leur site Web sera trouvé par des clients prospects. Est-ce que vous êtes visible sur le Web ? Le plus beau site Web n’est rien sans visiteurs…

Est-ce que vous recherchez des clients ou des occasions d’affaires sur le Web ?
46,3% des PME le font. Par exemple afin de cibler des marchés ou des clientèles cibles.

Est-ce que vous connaissez vos concurrents ?
45,5% des PME font des recherches sur leurs concurrents. Il s’agit d’une veille stratégique importante aujourd’hui.

Est-ce que votre site Web offre des fonctionnalités d’affaires ?
Vous avez ici la chance d’être en avance sur vos concurrents! En effet, les PME québécoises offrent actuellement peu de fonctionnalités d’affaires.
-30,2% diffusent des offres d’emploi en ligne
-29,1% offrent un catalogue électronique
-24,8% offrent la possibilité de commander ou de réserver en ligne
-30,1% offrent une section « service après-vente »
-13,1% offrent la possibilité de payer en ligne
-8,7% ont un blogue

Avec ces chiffres, vous devriez être en mesure d’autoévaluer votre positionnement sur le Web.

Vous voyez qu’il y a plusieurs façons de se différentier de la concurrence. À l’action!

Contactez-nous si vous désirez plus d’informations à ce sujet.

(Français) La bonne action au bon moment

Coordonnez vos tâches marketing avec la saisonnalité du marché

Nos clients demandent souvent que nous travaillions avec eux, à leurs bureaux, pour augmenter leur chiffre d’affaires.  Cette approche nous permet un lien direct avec les clients de nos clients, et nous aide, entre autres,  à faire ressortir la saisonnalité de leurs marchés.

Par exemple, récemment, un client d’un de nos clients a demandé de ne pas l’appeler en novembre ou décembre, à cause de la saisonnalité de son marché.  Dans ce cas, c’est une saisonnalité qui s’aligne avec les congés.  Sa haute saison correspond aux congés de la « Thanksgiving » et Noël.  Ainsi, en préparation pour ces congés, ses commandes auprès des fournisseurs sont faites en septembre, et après ce temps il préfère ne pas être appelé.  Puis, en janvier, la communication reprend, parce qu’il doit se préparer pour la Saint-Valentin et le congé de Pâques.  Ce n’est pas compliqué, il nous indique comment baliser nos efforts.  Après quelques conversations comme celle-ci, nous comprenons non seulement quand appeler les contacts, mais aussi quand réaliser les autres tâches nécessaires pour développer une clientèle diversifiée. 

On vise deux buts :

1) Optimiser les ventes dans les marchés existants 

2) Pénétrer de nouveaux marchés. 

Dans le marché existant, il faut identifier les nouveaux contacts à cibler, établir des offres qui correspondent à leurs besoins, familiariser les contacts avec ces offres, et vendre aux bons moments. Au fil des communications avec les clients,  nous développons une connaissance de leur haute et basse saison. Nous pouvons ainsi réaliser la bonne tâche au bon moment, suivant leurs saisons. 

Nous prenons note de chaque envoi, chaque contact, chaque vente, pour préciser d’une année à l’autre, parmi les facteurs de  saisonnalité, ceux qui nous aideront à cibler les meilleurs marchés, aux meilleurs moments.      

Pour les nouveaux marchés, au lieu de suivre les saisonnalités, on vise à créer des revenus constants sur toute l’année.  Cela veut dire trouver d’autres marchés ou d’autres produits qu’on peut offrir pendant les saisons basses de nos clients actuels. Par exemple, un fabricant en formage de fils d’acier, qui fabrique des anses pour des sceaux, peut fabriquer aussi des crochets pour des cintres.  De plus, la saisonnalité des crochets pour les cintres dans l’hémisphère sud est l’inverse de celle de l’hémisphère nord, donnant l’occasion de diversifier les ventes d’une façon qui peut contribuer à des revenus constants pendant toute l’année.    

Pour ceux qui vont le faire eux même, il y a deux règles à suivre. 

1) Choisissez un rythme pour les efforts de vente et marketing et suivez-le sans relâche.  L’effort constant est clé. 

2) Prenez note de chaque envoi, chaque contact et chaque vente, ces informations vont devenir votre guide.

Allez-y, contactez-nous aujourd’hui pour optimiser le développement de vos ventes !

(Français) Puisque les clients ne sont pas égaux… !

L’inégalité n’est pas un thème « politiquement correct ». Pour cette raison, deux grands mythes contribuent à réduire vos marges : « les clients sont égaux » et « les clients ont droit au même traitement ».

Rien n’est plus faux !

Les clients ne sont pas égaux parce qu’ils ne contribuent pas tous à la croissance de votre entreprise.

Certains d’entre eux utilisent vos services comme dépannage, d’autres tentent toujours d’obtenir des prix déraisonnablement faibles, d’autres enfin vous font connaître une expérience après vente tellement négative qu’ils vous font parfois regretter de les avoir servis.

Donc, certains clients sont une perte de temps et une perte d’argent.

Voici certaines questions à se poser à l’égard de tous nos clients :

  • Quel est le revenu actuel provenant de ce client ?
  • Quel potentiel de vente représente-t-il pour l’entreprise ?
  • Quelle est la rentabilité de ce client ?
  • Est-il en croissance ?
  • Est-il conscient de la valeur ajoutée que vous lui apportez ?
  • Quelle est la « longévité » espérée de ce client, longévité basée sur :
    • Sa santé financière ?
    • La possibilité d’établir une relation à long terme ?
    • La possibilité de devenir son fournisseur principal ?

Pour construire une entreprise solide et en croissance, il faut mettre les efforts aux bons endroits. Pour cela, vous devez d’abord classer vos clients selon des critères précis, en appliquant une pondération à chacun des critères. L’exemple suivant illustre une façon de le faire.

Dans cet exemple, on a établi 4 critères :

  • Le revenu actuel provenant du client;
  • Le potentiel de vente à ce client;
  • La rentabilité de ce client;
  • La longévité anticipée avec ce client.
  • De plus, un « poids » (entre 10 et 35 %) a été accordé à chacun de ces critères.

    Une fois cette norme établie, il vous faut évaluer chacun de vos clients et lui attribuer une note, par exemple, entre 1et 5 pour chacun des critères.

    L’évaluation du client de l’exemple donne une note de 64 %. Cette note correspond à un client type B, parce que les ventes actuelles sont faibles (il a obtenu un 2 pour ce critère).

    La classification va nous indiquer l’intensité des efforts à réaliser auprès de chaque client :

    1 – Les clients A sont nos meilleurs clients donc on va leur donner le meilleur traitement afin de les conserver et d’accroître leurs ventes.

    2 – Pour les clients B, on va réaliser les efforts nécessaires pour tenter de les amener dans la classe des A.

    3 – Pour les clients C, il est certain qu’on va leur accorder un traitement moindre parce que :

    • On leur vend trop peu;
    • Ils présentent un potentiel de vente plus faible;
    • Ils sont moins rentables;
    • Ou bien ils ne nous permettent pas de construire une relation durable.

      Attention, on ne dit pas de ne pas servir les clients C. On va « répondre à leur demande » ou, mieux encore, on va demander à un vendeur interne de leur accorder un suivi téléphonique. Cependant, ils ne recevront pas (ou ne recevront plus) la même attention, comme la visite de nos vendeurs sur la route, des informations de marché, des produits innovateurs, ou toute autre attention particulière qui représente un coût pour votre entreprise.


    • De plus, puisque les gens ont tendance à s’associer avec des gens qui leur ressemblent, ne demandez pas à vos clients C de vous référer des clients. Demandez-le uniquement à vos clients A et B.