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(Français) Infolettre par courriel : Bonifiez votre site Web et dépensez moins !

On dit souvent que la vente est une question de nombre «a numbers game ».

Cela est tout aussi applicable pour votre site Web. Plus il y a de visiteurs, plus je suis connu, plus j’ai de membres, plus j’ai de ventes, plus j’ai de revenus publicitaires, etc.

En vente, on dirait également que plus le prospect est qualifié, plus j’ai de chance de lui vendre.

Encore une fois applicable pour nos visiteurs sur le site Web sont qualifiés, plus ils vont l’apprécier.

Alors, comment amener des prospects qualifiés sur votre site Internet ?

Tout d’abord, on veut générer du trafic. Mais pas n’importe quel, du trafic de gens qualifié. Quoi de mieux que d’inviter ces gens à visiter? C’est le concept des infolettres par courriel.

On a une banque de clients, anciens clients et prospects, pourquoi ne pas leur demander s’ils veulent recevoir votre infolettre !

Comparons :

La méthode d’envoi par la poste traditionnelle à 2000 destinataires peut coûter très cher. Par exemple :

-Faire une brochure ou dépliant (exemple 3000$ par une firme professionnelle)
-Imprimer 2000 copies couleurs (1000$)
-Écrire une lettre d’introduction (100$ de temps)
-Faire 2000 copies de la lettre d’introduction (200$)
-Acheter 2000 enveloppes (50$)
-Préparer la liste d’envoi et publipostage (300$ de temps)
-Acheter 2000 timbres (1000$)
-Préparer les 2000 enveloppes (300$ de temps)
-Poster les 2000 enveloppes (50$ de temps)

TOTAL : environ 6 000$

La méthode d’infolettre par courriel à 2000 destinataires peut se faire pour environ la moitié du coût. Par exemple :

-Création d’un gabarit graphique récupérable (1000$)
-Création de pages Web liées à l’infolettre (500$)
-Intégration de vos textes en format Web (500$)
-Frais d’utilisation d’outils (500$)
-Envoi et rapports (500$)

TOTAL : environ 3 000$ pour la première et 2000$ pour les autres

Les outils d’envoi d’infolettres nous permettent souvent d’avoir des statistiques sur la réception des bulletins, sur le taux de lecture et sur les sujets d’intérêts. Donc on connait mieux l’efficacité de nos efforts.

Exemple de rapport :

De plus, les infolettres redirigent généralement vers une section de votre site Web. Ainsi, on bonifie notre site Web en même temps.

Il y a d’ailleurs une très belle synergie d’outils qui peut être réalisée :

  • Des gens apprennent l’existence de votre site Internet (source : Moteurs de recherche, efforts marketing, etc.)
  • Ils visitent le site Internet et le trouvent intéressant
  • Ils remplissent un formulaire pour recevoir de l’information et pour s’inscrire à votre infolettre
  • Les coordonnées sont inscrites dans votre CRM
  • Vous faites facilement le suivi grâce à votre CRM
  • Vous récupérez les listes des gens intéressés à votre infolettre dans votre CRM
  • Vous faites l’envoi de l’infolettre et vous redirigez les gens vers votre site Web

Il faut cependant être prudent avant d’envoyer des infolettres par courriel et toujours offrir la possibilité aux lecteurs s’abonner et de se désabonner. De plus, le courriel doit avoir une adresse de retour valide et l’envoyeur doit être bien identifié.

Plus de succès, plus d’informations, pour un investissement moindre !

(Français) Puisque les clients ne sont pas égaux… !

L’inégalité n’est pas un thème « politiquement correct ». Pour cette raison, deux grands mythes contribuent à réduire vos marges : « les clients sont égaux » et « les clients ont droit au même traitement ».

Rien n’est plus faux !

Les clients ne sont pas égaux parce qu’ils ne contribuent pas tous à la croissance de votre entreprise.

Certains d’entre eux utilisent vos services comme dépannage, d’autres tentent toujours d’obtenir des prix déraisonnablement faibles, d’autres enfin vous font connaître une expérience après vente tellement négative qu’ils vous font parfois regretter de les avoir servis.

Donc, certains clients sont une perte de temps et une perte d’argent.

Voici certaines questions à se poser à l’égard de tous nos clients :

  • Quel est le revenu actuel provenant de ce client ?
  • Quel potentiel de vente représente-t-il pour l’entreprise ?
  • Quelle est la rentabilité de ce client ?
  • Est-il en croissance ?
  • Est-il conscient de la valeur ajoutée que vous lui apportez ?
  • Quelle est la « longévité » espérée de ce client, longévité basée sur :
    • Sa santé financière ?
    • La possibilité d’établir une relation à long terme ?
    • La possibilité de devenir son fournisseur principal ?

Pour construire une entreprise solide et en croissance, il faut mettre les efforts aux bons endroits. Pour cela, vous devez d’abord classer vos clients selon des critères précis, en appliquant une pondération à chacun des critères. L’exemple suivant illustre une façon de le faire.

Dans cet exemple, on a établi 4 critères :

  • Le revenu actuel provenant du client;
  • Le potentiel de vente à ce client;
  • La rentabilité de ce client;
  • La longévité anticipée avec ce client.
  • De plus, un « poids » (entre 10 et 35 %) a été accordé à chacun de ces critères.

    Une fois cette norme établie, il vous faut évaluer chacun de vos clients et lui attribuer une note, par exemple, entre 1et 5 pour chacun des critères.

    L’évaluation du client de l’exemple donne une note de 64 %. Cette note correspond à un client type B, parce que les ventes actuelles sont faibles (il a obtenu un 2 pour ce critère).

    La classification va nous indiquer l’intensité des efforts à réaliser auprès de chaque client :

    1 – Les clients A sont nos meilleurs clients donc on va leur donner le meilleur traitement afin de les conserver et d’accroître leurs ventes.

    2 – Pour les clients B, on va réaliser les efforts nécessaires pour tenter de les amener dans la classe des A.

    3 – Pour les clients C, il est certain qu’on va leur accorder un traitement moindre parce que :

    • On leur vend trop peu;
    • Ils présentent un potentiel de vente plus faible;
    • Ils sont moins rentables;
    • Ou bien ils ne nous permettent pas de construire une relation durable.

      Attention, on ne dit pas de ne pas servir les clients C. On va « répondre à leur demande » ou, mieux encore, on va demander à un vendeur interne de leur accorder un suivi téléphonique. Cependant, ils ne recevront pas (ou ne recevront plus) la même attention, comme la visite de nos vendeurs sur la route, des informations de marché, des produits innovateurs, ou toute autre attention particulière qui représente un coût pour votre entreprise.


    • De plus, puisque les gens ont tendance à s’associer avec des gens qui leur ressemblent, ne demandez pas à vos clients C de vous référer des clients. Demandez-le uniquement à vos clients A et B.

    (Français) Votre site Internet ne performe pas assez ? Voici 10 règles d’or !

    Selon le Cefrio (NETendances 2008), il y a 4,4 millions d’internautes réguliers au Québec, soit 71,7% de la population. Parmi eux :

  • 63,3% des adultes québécois communiquent par courriel;
  • 38,8% des adultes québécois utilisent Internet pour planifier les vacances;
  • 19,3% des adultes québécois consultent un blogue;
  • 13.3% des adultes québécois utilise internet comme principale source d’actualité.
  • Cet extrait des statistiques du Cefrio nous indique que l’adoption d’Internet est très importante. Votre site Internet corporatif est donc sans aucun doute une vitrine marketing très puissante et relativement peu couteuse.

    Mais le plus beau site Internet du monde n’est rien s’il n’a pas de visiteur.

    Est-ce que votre site a un nombre suffisant de visiteurs ?

    Plusieurs outils gratuits vous permettent d’avoir une panoplie d’information…

    Voici 10 règles d’or pour votre site Internet :

    1. S’assurer que votre site Internet est indexé dans les moteurs de recherche principaux (Google, Live (MSN) et Yahoo). Pour Google, visitez https://www.google.com/webmasters/tools/sitestatus?hl=fr;

    2. Le « PageRank » est un indicateur sur 10 de l’importance de votre site Internet sur la toile selon Google. Les sites entre 0 et 1 sont jugés comme non importants, entre 2 et 3 de faible importance et ainsi de suite jusqu’à 9-10 très importants. Plusieurs stratégies permettent de faire augmenter cet indicateur et d’être mieux positionné dans Google. Découvrez votre « Google PageRank » à l’aide de différents outils dont : http://www.checkpagerank.net/;

    3. S’inscrire aux outils de Google offerts aux Webmaster à l’adresse suivante : http://www.google.com/webmasters/tools?hl=fr/;

    4. S’inscrire à Google Analytics qui permet d’avoir une foule d’information sur les visiteurs de votre site Internet (nombre de visiteurs, lieu d’origine, temps passé sur le site, pages visités, etc.). Ces métriques ne remplaceront jamais un sondage aux internautes ou un test de convivialité, mais elles donnent une base intéressante d’information;

    5. Informez tous les sites susceptibles d’être intéressés par le contenu de vos pages que votre site existe (proposez un échange de liens). Cela participera entre autres à augmenter votre « PageRank »;

    6. Proposez votre site aux annuaires les plus influents (dir.yahoo.com, pagesjaunes.ca, toile du Québec, canada411.ca, dmoz.org, etc.);

    7. Visitez certains sites d’analyses de votre site Internet pour avoir un diagnostic rapide de votre site. Il y a des outils gratuits comme : http://www.xinureturns.com/ et http://www.seotoolset.com/tools/free_tools.html;

    8. Inscrivez-vous à une campagne de référencement payant sur les moteurs de recherche principaux. Une petite campagne avec Google peut coûter moins de 50$ par mois pour l’achat de mots clés. Cela vous donnera accès à la première page de résultats de recherche de Google et vous donnera sans doute un retour sur l’investissement;

    9. Faites analyser votre site Internet par un expert en optimisation du référencement dans les moteurs de recherche et améliorer votre positionnement. Il vérifiera d’autres éléments comme le contenu de vos balises, la structure de votre site, la lisibilité par les robots, la densité des mots clés, etc.;

    10. Révisez votre site Internet régulièrement. Votre entreprise est dynamique ? Votre site devrait l’être aussi puisqu’il vous représente virtuellement. Un visiteur qui ne voit aucune mise à jour suite à quelques visites de votre site risque de ne plus y revenir. Surtout si la dernière nouvelle date de plus d’un an. Les mises à jour fréquentes sont l’ajout de nouveaux produits, des nouvelles, des nouveaux guides PDF, des nouvelles photos, des articles, des nouveaux services, etc.

    Nous avons rédigé ces règles de façon à ce que vous soyez en mesure de les réaliser vous-même. Cependant, si vous avez besoin de plus d’information, d’assistance ou d’une réalisation clé en main, n’hésitez pas à nous contacter au 514-871-4711

    (Français) En temps difficile : Marketing traditionnel ou électronique ?

    Ceci est une question à laquelle nous avons à répondre fréquemment. Bien que la réponse idéale soit « un bon équilibre » ou « ne pas mettre tous les œufs dans le même panier », il y a une règle que nous trouvons bien importante : Le retour sur l’investissement.

    Il n’est pas toujours facile de connaitre le retour sur l’investissement dans le marketing, cependant c’est un indicateur drôlement important.

    Prenons un exemple typique d’une PME qui fait du marketing traditionnel.

    Une entreprise réalise annuellement les activités marketing suivantes :
    -Publicité dans un magazine spécialisé chaque mois (12 000 $)
    -Envoi postal à 2000 clients (4 000 $)
    -Brochure couleur sur 4 pages (4 000$)

    La facture grimpe rapidement à 20 000$ seulement pour ces 3 activités.

    Sera-t-il facile pour cette entreprise de répondre aux questions suivantes :
    -Qui a consulté la publicité dans le magazine ?
    -Qui a contacté l’entreprise et qui avait auparavant vu la publicité ?
    -Qui a jeté votre envoi postal aux poubelles sans l’ouvrir ?

    La réponse est très souvent qu’il n’y a pas ou peu d’indicateur de performance pour ce type de publicité traditionnelle.

    Maintenant, quelle est la force du marketing électronique ? Les indicateurs de performance !

    Voici comment une entreprise peut utiliser différemment 20 000$ avec le marketing électronique :
    -Envoi d’une infolettre par courriel par trimestre (10 000 $)
    -Publicité sur les moteurs de recherche (ex. : Google) (4 000 $)
    -Brochure couleur sur 4 pages en format PDF (3 000$)
    -Mise à jour et référencement du site Internet (3 000$)

    L’infolettre par courriel nous permet d’avoir des indicateurs comme : qui a vu l’infolettre, qui a cliqué sur un article d’infolettre, qui s’est rendu sur le site internet à partir de l’infolettre, etc.

    La publicité sur les moteurs de recherche nous permet de savoir : combien de gens ont vu la publicité, qui a cliqué sur la publicité, qui a navigué sur le site internet par la suite, etc.

    La brochure en PDF nous permet de l’envoyer par courriel sans coût de poste et d’impression. De plus, elle nous permet également de la rendre disponible sur le site Internet et de demander des informations à un prospect pour la télécharger.

    La mise à jour du site Internet est nécessaire dans le sens où un site statique perdra très rapidement de la crédibilité auprès des visiteurs et réduira de beaucoup la rétention des visites.

    Le référencement du site permettra de « sortir plus haut » dans les résultats des recherches des internautes dans les moteurs de recherche. Il s’agit d’un aspect important puisque plus du tiers des gens magasine sur le web avant un achat.

    Ces indicateurs de la performance de ces différentes activités permettent à l’entreprise de mieux cibler les clients potentiels. Aussi, dans des temps plus difficiles comme une récession, il est important de miser là où ça rapporte le plus, quand on le sait…

    Si vous avez des questions ou commentaires sur le sujet, n’hésitez pas à communiquer avec nous.